PHILIPPE JAMET

Ce que nous pouvons dire

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"CE QUE NOUS POUVONS DIRE"

(photo philippe DEMARD)


créé les 5, 6, 7, 8 février 1997 au théâtre du Merlan à Marseille

et les 10, 11, 12, 13, 14 juin 1997 au Dix Huit Théâtre à Paris


Extraits de presse :

...Il danse comme l'on parle le muet. Comme les enfants peuvent se comprendre par signes. Du rire au larmes, le spectateur a parfois du mal à suivre ce spectacle qui ressemble peut-être à nos imaginaires d'enfant.

L'Eveil Hebdo

La chorégraphie marque des ruptures brutales qui transportent d'un univers à l'autre. Grâce à un ensemble de gestes vifs et saccadés, elle explore toutes les directions du possible comme un enfant pourrait le faire en découvrant les limites du monde, de l'autre. C'est la rencontre, la reconnaissance de l'autre, l'exploration des joies de l'amour à travers celle de la danse, simple - presque dépouillée de toute formalité - mais sans simplisme. Un univers où tout bascule brusquement comme dans la vie on passe d'un sentiment à l'autre, d'une pensée à l'autre. Nous sommes dans l'espace du conte, irréaliste et violent, où une trottinette se transforme en cadavre sous les yeux duquel vont se dérouler des moments de vie ; attendant avec nos jeux d'enfant qu'une fée vienne nous délivrer de nos cauchemars. Un spectacle à voir parce qu'il nous plonge simplement dans l'univers tendre, drôle et violent d'un chorégraphe se penchant sur l'objet de bien des angoisses comme de rêves.

Francis Cossu (La Marseillaise)

Des images fortes gravent la pièce... Cette circulation à travers le temps arrêté sous-entend le dessein artistique du chorégraphe, comme un désir d'excréter et d'entrechoquer la mémoire des corps et des cultures, sans chercher à les analyser, juste pour créer un courant entre l'art et la vie. D'où un travail qui laisse l'émotion s'installer, avec cette curiosité à regarder simplement autour de soi, cette belle générosité et cette envie de partager. Telle cette image finale où, tous les interprètes allongés sur une plage virtuelle, contemplent une mer photographiée, dos au public, face à l'insondable.

Isabelle Brochard (Les Saisons de la Danse)

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